L'ouverture
Bokusan Nishiari (1821-1910), un maître zen réputé de l’école sôtô a laissé des conférences sur le Fukanzazengi, "Recommandations générales concernant la méditation assise", un texte court et difficile de Dôgen. Elles sont assez convenues. Et pourtant, il y a un très beau passage sur l’attitude d’ouverture et de bonté nécessaire à la méditation.
Bokusan dit (je paraphrase quelque peu) : "Il y a deux façons d’aborder la méditation. Lorsque surgit une difficulté, on peut être comme un guerrier qui soudain voit l’ennemi, avance fièrement et le tue. Une autre façon de faire et d’aller à sa rencontre et de s’en faire un allié. C’est cette deuxième attitude que nous développons dans l’école sôtô."
Bokusan dit (je paraphrase quelque peu) : "Il y a deux façons d’aborder la méditation. Lorsque surgit une difficulté, on peut être comme un guerrier qui soudain voit l’ennemi, avance fièrement et le tue. Une autre façon de faire et d’aller à sa rencontre et de s’en faire un allié. C’est cette deuxième attitude que nous développons dans l’école sôtô."
Mots-clés : Fukanzazengi, grandeur, Nishiari, méditation
Imprimer | Articlé publié par Eric le 18 Nov. 06 |
le 20/11/2006
je voulais juste vous dire, que comme un papillon, j'aime venir régulièrement me "nourrir" du nectar qu'offre ce blog.
Merci...
Marianne
le 05/06/2008
La apertura
Bokusan Nishiari (1821-1910), reputado maestro zen de la escuela sôtô, nos ha dejado conferencias sobre el Fukanzazengi, "Recomendaciones universales sobre la meditación sentada”, un texto corto y difícil de Dôgen. Son muy convencionales. Sin embargo hay un bello pasaje sobre la actitud de apertura y bondad necesaria para la meditación.
Dice Bokusan (parafraseo un poco): “Hay dos maneras de abordar la meditación, cuando surge una dificultad se puede ser como un guerrero que de repente ve al enemigo, avanza con dignidad y lo mata. Otra forma de actuar es ir a su encuentro y hacerse un aliado. Es esta segunda actitud es la que desarrollamos en la escuela sôtô.”